
Lieu de mon conflit avec les sangliers, pères nourriciers de truffes, ils peuvent être blancs ou verts (les chênes verts sont à feuilles persistantes), grands ou petits (voir sur ce sujet, l'article : "Les chênes naissent égaux, mais cela ne dure pas").
J'aime ces arbres qui architecturent le terrain, mais, question truffes, vraiment la plupart ne font rien.
Paresse ? Incompétence ? Rébellion face à ce que l'on attend d'eux ?
Et si c'étaient les plus malins qui arrivaient à cacher si bien leurs truffes que ni les sangliers, ni les chiens ne les trouvaient... J'aime à m'imaginer des chênes complotant de la sorte.
Voilà, j'ai voulu terminer cette première année de mon blog par ces quelques billets d'humeur provençale. Une façon de glisser vers l'été et un peu de vacances.
A demain encore pour un dernier article qui vous introduira le "feuilleton de l'été" (mis en ligne au cours du mois d'août)....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire