Il y a deux ans, j’ai fait planter une nouvelle truffière : 140 petits chênes alternant blancs et verts. Entre les rangées de chênes des lavandes, le temps que les chênes grandissent. Dans une dizaine d’années, les truffes devraient être au rendez-vous… si tout va bien.
Quand ils ont été plantés, ils étaient tous de la même taille – quelques centimètres – et ils ont bénéficié du même terrain, du même ensoleillement, de la même hydrométrie…
Donc on devrait s’attendre à ce que leur développement soit relativement homogène…
Logique, non….
Eh, bien rien de tel ! Aujourd’hui certains sont déjà devenus de petits arbres de plus de 50 cm de haut … et d’autres n’ont quasiment pas grandi (sans parler des quelques uns qui n’ont pas survécu).
Injustice de l’évolution ! Les chênes sont comme nous, ils ne sont pas égaux…
Est-ce la présence ou non d’herbes parasites – le hasard des rencontres de la vie en quelque sorte - ? Est-ce une capacité personnelle qui s’affirme peu à peu, un savoir-faire « chênique »personnel inné ou acquis ? Ou alors un inconscient qui vient les empêcher de dormir la nuit et donc d’avoir l’énergie de grandir ?
En tout cas, une chose est sûre, ce n’est pas une affaire de racisme : il y a autant de « grands » chênes chez les blancs que les verts. Ouf !
Il n’en reste pas moins que je me retrouve perplexe… Les mystères de l’évolution… Acceptons la comme elle est et faisons avec…
Quand ils ont été plantés, ils étaient tous de la même taille – quelques centimètres – et ils ont bénéficié du même terrain, du même ensoleillement, de la même hydrométrie…
Donc on devrait s’attendre à ce que leur développement soit relativement homogène…
Logique, non….
Eh, bien rien de tel ! Aujourd’hui certains sont déjà devenus de petits arbres de plus de 50 cm de haut … et d’autres n’ont quasiment pas grandi (sans parler des quelques uns qui n’ont pas survécu).
Injustice de l’évolution ! Les chênes sont comme nous, ils ne sont pas égaux…
Est-ce la présence ou non d’herbes parasites – le hasard des rencontres de la vie en quelque sorte - ? Est-ce une capacité personnelle qui s’affirme peu à peu, un savoir-faire « chênique »personnel inné ou acquis ? Ou alors un inconscient qui vient les empêcher de dormir la nuit et donc d’avoir l’énergie de grandir ?
En tout cas, une chose est sûre, ce n’est pas une affaire de racisme : il y a autant de « grands » chênes chez les blancs que les verts. Ouf !
Il n’en reste pas moins que je me retrouve perplexe… Les mystères de l’évolution… Acceptons la comme elle est et faisons avec…
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