Quand ils ont été plantés, ils étaient tous de la même taille – quelques centimètres – et ils ont bénéficié du même terrain, du même ensoleillement, de la même hydrométrie…
Donc on devrait s’attendre à ce que leur développement soit relativement homogène…
Logique, non….
Eh, bien rien de tel ! Aujourd’hui certains sont déjà devenus de petits arbres de plus de 50 cm de haut … et d’autres n’ont quasiment pas grandi (sans parler des quelques uns qui n’ont pas survécu).
Injustice de l’évolution ! Les chênes sont comme nous, ils ne sont pas égaux…
Est-ce la présence ou non d’herbes parasites – le hasard des rencontres de la vie en quelque sorte - ? Est-ce une capacité personnelle qui s’affirme peu à peu, un savoir-faire « chênique »personnel inné ou acquis ? Ou alors un inconscient qui vient les empêcher de dormir la nuit et donc d’avoir l’énergie de grandir ?
En tout cas, une chose est sûre, ce n’est pas une affaire de racisme : il y a autant de « grands » chênes chez les blancs que les verts. Ouf !
Il n’en reste pas moins que je me retrouve perplexe… Les mystères de l’évolution… Acceptons la comme elle est et faisons avec…