Actuellement, je suis plongé dans la mécanique quantique, la relativité générale et la théorie des cordes. Intuition que, puisque nous ne sommes finalement qu’un conglomérat d’atomes et de composants élémentaires, les lois – ou leur absence… – qui les régissent peuvent aussi servir de clé de lecture à notre propre logique de fonctionnement.
La fin de ce livre est avant tout une interpellation et non pas une réponse. Il nous incite à nous abstraire de nos visions souvent trop mécanistes et simplistes :
« Dans l’état originel, avant que les cordes n’entrent dans cette danse, il n’y a ni espace ni temps. Notre langage est trop frustre pour aborder ces idées puisque, en fait, la notion d’avant n’existe même pas… Imaginer un état d’existence primaire ; à ce point dénué de toute structure, dans lequel les concepts de l’espace et du temps tels que nous les connaissons n’existent même pas, pousse les capacités de compréhension de la plupart des gens jusqu'à leurs limites… Tenter d’imaginer un univers qui existe sans invoquer le temps et l’espace. »
Pour ma part, je reste encore figé par cette vision de ce photon qui, hors du temps, se déploie dans l’Univers…
J’ai fini, il y a quelques jours, L’UNIVERS ÉLÉGANT de Brian Greene.
Étrange sensation à la lecture de ces pages où il parle de la naissance de l’univers, où finalement l’essentiel se passe dans la 1ère centième de seconde après le big-bang, où les photons du big-bang voyagent librement en accompagnant l’expansion de l’univers et sans que le temps n’ait pour eux de sens puisqu’ils sont à la vitesse de la lumière, où les forces que nous connaissons – la gravitation, la force électromagnétique, les forces nucléaires – émergent en se différenciant, où des dimensions cachées – 7 ! – resteraient cachées car enroulées sur elles-mêmes.
Étrange sensation à la lecture de ces pages où il parle de la naissance de l’univers, où finalement l’essentiel se passe dans la 1ère centième de seconde après le big-bang, où les photons du big-bang voyagent librement en accompagnant l’expansion de l’univers et sans que le temps n’ait pour eux de sens puisqu’ils sont à la vitesse de la lumière, où les forces que nous connaissons – la gravitation, la force électromagnétique, les forces nucléaires – émergent en se différenciant, où des dimensions cachées – 7 ! – resteraient cachées car enroulées sur elles-mêmes.
La fin de ce livre est avant tout une interpellation et non pas une réponse. Il nous incite à nous abstraire de nos visions souvent trop mécanistes et simplistes :
« Dans l’état originel, avant que les cordes n’entrent dans cette danse, il n’y a ni espace ni temps. Notre langage est trop frustre pour aborder ces idées puisque, en fait, la notion d’avant n’existe même pas… Imaginer un état d’existence primaire ; à ce point dénué de toute structure, dans lequel les concepts de l’espace et du temps tels que nous les connaissons n’existent même pas, pousse les capacités de compréhension de la plupart des gens jusqu'à leurs limites… Tenter d’imaginer un univers qui existe sans invoquer le temps et l’espace. »
Pour ma part, je reste encore figé par cette vision de ce photon qui, hors du temps, se déploie dans l’Univers…
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