Merci pour toutes vos réponses au jeu-quizz. Comme il a été relayé sur AgoraVox, cela a augmenté sa diffusion.
Ceci dit – ou plutôt écrit –, en fait le quizz lui-même n’était qu’une illusion : comment, en effet, pouvoir répondre à des questions « D’où vient la crise ? » ou « Pourquoi un État a-t-il des problèmes économiques ? » en une phrase ? Impossible non ?
Et pourtant bon nombre d’entre vous, pris dans le « jeu » d’un quizz, vous avez répondu.
La plupart ont même accepté ma liste et choisi la réponse ou les réponses qui leur paraissaient adaptées (dans ce cas ont été retenues le plus souvent A2/A5 – B2/B5 – C2/C5 – D2/D5 – E2/E5),
Certains ont refusé la liste, mais ont écrit leur propre réponse.
D'autres ont pris le quizz au pied de la lettre et m’ont accusé d’approche simpliste, voire de manipulateur dévoué à la logique des multinationales. Ils n’ont alors fourni aucune réponse, mais ont écrit une diatribe contre moi et le système. Vision d’un monde où il y a clairement d’identifiés « des bons et des méchants », moi faisant pour l’occasion office de « méchant »…
Incompréhension.
Donc si la liste des questions ne pose pas de problème et recouvre bien des questions que tout le monde se pose (D’où vient la crise actuelle ? Pourquoi des Entreprises délocalisent-elles une activité ? Pourquoi un État a-t-il des problèmes économiques ? Comment un État peut-il améliorer les chances des entreprises à faire face à une crise ? Que peuvent faire les habitants de ce même état pour aider le pays et les entreprises à faire face à la crise ?), les réponses ne sont que des caricatures et rien de plus…
Nous ne pouvons faire l’économie d’une compréhension en profondeur et probablement de la remise en cause de pas mal d’idées reçues et d’habitudes.
Il faut apprendre à ne plus respecter les règles et les normes imposées de l’extérieur, qu’elles soient sous la forme d’un quizz ou toute autre forme.
Sachons refuser les approches simplistes, les caricatures – il n’y a ni « bons » ni « méchants » dans l’absolu, tout est contextuel et lié à une situation donnée -, les messies de la pensée ou de l’action – qu’ils soient président, gourou ou spécialistes -.
Arrêtons-nous pour comprendre. Repérons les anomalies non pas pour les éradiquer, mais comme des signaux de phénomènes nouveaux ou encore mal compris.
Interdisons-nous de répondre par des A2/ B4/C3/D5/E1…
Et pourtant bon nombre d’entre vous, pris dans le « jeu » d’un quizz, vous avez répondu.
La plupart ont même accepté ma liste et choisi la réponse ou les réponses qui leur paraissaient adaptées (dans ce cas ont été retenues le plus souvent A2/A5 – B2/B5 – C2/C5 – D2/D5 – E2/E5),
Certains ont refusé la liste, mais ont écrit leur propre réponse.
D'autres ont pris le quizz au pied de la lettre et m’ont accusé d’approche simpliste, voire de manipulateur dévoué à la logique des multinationales. Ils n’ont alors fourni aucune réponse, mais ont écrit une diatribe contre moi et le système. Vision d’un monde où il y a clairement d’identifiés « des bons et des méchants », moi faisant pour l’occasion office de « méchant »…
Incompréhension.
Donc si la liste des questions ne pose pas de problème et recouvre bien des questions que tout le monde se pose (D’où vient la crise actuelle ? Pourquoi des Entreprises délocalisent-elles une activité ? Pourquoi un État a-t-il des problèmes économiques ? Comment un État peut-il améliorer les chances des entreprises à faire face à une crise ? Que peuvent faire les habitants de ce même état pour aider le pays et les entreprises à faire face à la crise ?), les réponses ne sont que des caricatures et rien de plus…
Nous ne pouvons faire l’économie d’une compréhension en profondeur et probablement de la remise en cause de pas mal d’idées reçues et d’habitudes.
Il faut apprendre à ne plus respecter les règles et les normes imposées de l’extérieur, qu’elles soient sous la forme d’un quizz ou toute autre forme.
Sachons refuser les approches simplistes, les caricatures – il n’y a ni « bons » ni « méchants » dans l’absolu, tout est contextuel et lié à une situation donnée -, les messies de la pensée ou de l’action – qu’ils soient président, gourou ou spécialistes -.
Arrêtons-nous pour comprendre. Repérons les anomalies non pas pour les éradiquer, mais comme des signaux de phénomènes nouveaux ou encore mal compris.
Interdisons-nous de répondre par des A2/ B4/C3/D5/E1…