« Perdre son temps », cette expression est sur toutes les lèvres : « il ne faut pas que je perde mon temps », « tu me fais perdre mon temps », « quelle perte de temps », « je reviens de cette réunion et j’y ai perdu mon temps » … Au best seller des lieux communs, elle est probablement dans le peloton de tête.
Or s’il y a une chose de sûr, c’est que le temps est une des rares choses que l’on ne peut pas perdre : vous pouvez perdre votre stylo, votre sac, l’idée que vous avez eu tout à l’heure ou même votre vie, mais votre temps non ! Pas besoin d’écrire là où on l’a rangé pour le retrouver, inutile de le mettre dans un coffre fort pour que l’on ne vous le dérobe pas, pas de crainte à avoir en cas de cambriolage : il sera toujours là !
La bonne question n’est pas celle-là, mais est : « Qu’est ce que j’ai fait de mon temps ? » ou encore « A quoi et selon quelle logique, j’ai affecté mon temps ».
Quand je réponds, suite à une sollicitation : « Désolé, non je n’ai pas de temps à perdre », en fait je réponds « Désolé, faire ceci n’entre pas dans mes priorités et je vais allouer mon temps à autre chose ». Ou encore quand je dis, « Je viens de perdre mon temps », je devrais dire : « Je regrette de ne pas avoir fait autre chose »…
Le reproche principal que je fais à cette « mode de la perte de temps », c’est qu’elle masque ce qui, pour moi, devrait être le vrai débat : Comment j’optimise mon temps ou comment je choisis mes activités.
Elle est laisse dans l’inconscient collectif le vrai débat…
(VOIR AUSSI ACTION OU TRANSFORMATION)
Or s’il y a une chose de sûr, c’est que le temps est une des rares choses que l’on ne peut pas perdre : vous pouvez perdre votre stylo, votre sac, l’idée que vous avez eu tout à l’heure ou même votre vie, mais votre temps non ! Pas besoin d’écrire là où on l’a rangé pour le retrouver, inutile de le mettre dans un coffre fort pour que l’on ne vous le dérobe pas, pas de crainte à avoir en cas de cambriolage : il sera toujours là !
La bonne question n’est pas celle-là, mais est : « Qu’est ce que j’ai fait de mon temps ? » ou encore « A quoi et selon quelle logique, j’ai affecté mon temps ».
Quand je réponds, suite à une sollicitation : « Désolé, non je n’ai pas de temps à perdre », en fait je réponds « Désolé, faire ceci n’entre pas dans mes priorités et je vais allouer mon temps à autre chose ». Ou encore quand je dis, « Je viens de perdre mon temps », je devrais dire : « Je regrette de ne pas avoir fait autre chose »…
Le reproche principal que je fais à cette « mode de la perte de temps », c’est qu’elle masque ce qui, pour moi, devrait être le vrai débat : Comment j’optimise mon temps ou comment je choisis mes activités.
Elle est laisse dans l’inconscient collectif le vrai débat…
(VOIR AUSSI ACTION OU TRANSFORMATION)